La signature, le 8 mars 2023, du pacte d’actionnaires entre Rio Tinto/Simfer, Winning Consortium Simandou (WCS) auquel s’est joint le géant chinois de l’acier, Baowu Steel, et l’État guinéen, dans le cadre de la Compagnie du Transguinéen (CTG), constitue une étape cruciale dans la réalisation concrète du projet Simandou.
A propos, d’ailleurs , le Ministre Directeur de cabinet de la Présidence de la République , qui est par ailleurs le Président du comité stratégique du projet Simandou, n’a pas caché son trop grand enthousiaste
« Aujourd’hui est un grand jour, pour nous. Nous sommes en train de montrer au monde entier que nous pouvons faire face au grand défi lié à ce projet. On parle d’un projet intégré, infrastructures-Mines. C’est un projet dont les financements oscillent entre 15 et 20 milliards de dollars américains. Il y a énormément d’enjeux pour les partenaires industriels, mais également pour notre pays. Le chef de l’Etat souhaite faire de ce projet, un socle de développement pour pouvoir amorcer la dynamique qu’il a instauré depuis le 05 septembre 2021 pour pouvoir accompagner le développement dans la refondation de notre pays» a précisé Djiba Diakité.
Cependant, il faut être prudent. Car, ce nouveau dénouement, important , certes , est par contre loin d’être une panacée.
Cette signature , selon les spécialistes , ne signifie pas de facto le démarrage des activités, » C’est maintenant que le plus dur commence, celui de la mobilisation des capitaux pour le financement du capex.
Loin d’une caricature , l’espoir est bien permis avec l’arrivée du géant chinois BAOWU dans la nouvelle structure du Simandou.
A préciser, que le CAPEX (Capital Expenditure) correspond aux dépenses d’investissement.
Cependant l’espoir est permis avec l’arrivée du géant chinois BAOWU dans la nouvelle structure du Simandou
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