Emergence – Dans l’opinion, les médias sont considérés comme étant le quatrième pouvoir dans un pays. Ils sont sans doute des piliers du combat pour la bonne gouvernance et la liberté d’opinion qui est d’ailleurs le fondement de toute démocratie.
Le fonctionnement normal de ces canaux traditionnels d’informations et de communication dépend des moyens financiers dont ils disposent pour faire face aux multiples charges auxquelles ils sont confrontés.
C’est ainsi, que selon des pays, des initiatives sont prises pour garantir à ceux-là, un meilleur fonctionnement. Cela va des faciliter à eux leur accordées pour la publicité et/ou des subventions qui leurs sont annuellement versées.
En Guinée, non seulement l’accès à la publicité pour les médias s’avère très difficile pour des raisons liées au manque de politique d’incitation des autorités du pays, c’est du moins ce que disent des patrons de presse à cause du manque d’une. Aussi, les subventions qui leurs sont versées annuellement laissent à désirer.
A comparer à celles reçues par des médias qui sont dans d’autres pays de la sous-région, on peut se faire une idée de la volonté des autorités à promouvoir d’émergence d’une libre.
En Guinée, la subvention versée à la presse est de 4 milliards de francs guinéens au maximum, très loin derrière Côte-D’Ivoire qui donne l’équivalent en Francs guinéens de 17,680 milliards, 57,8 milliards au Sénégal et 68 milliards au Ghana
Mohamed