Emergence – L’institution dirigée par Karamo Kaba est à nouveau au centre des préoccupations.
Après la fameuse affaire de l’or bloqué à Dubaï, dont la quasi-totalité serait rapatriée grâce à l’intransigeance des autorités qui en avaient fait une priorité, la Banque centrale fait à nouveau parler d’elle. En cause, une crise de liquidité auquel elle serait confrontée, pénalisant ainsi plusieurs opérations, notamment celles faites par des banques commerciales. D’ailleurs, ces dernières en sont sérieusement affectées.
« On est en ce moment affectes par ce manque de liquidité a la banque centrale. Nos demandes en billets ne sont jamais entièrement satisfaites. Par exemple, quand on fait une demande de plus de 10milliards à débiter sur notre compte là-bas, au mieux, on peut recevoir au maximum 5milliards. Si non au pire, on nous fait attendre sans suite. Il y a d3s banques parmi nous, pour éviter de tomber dans la crise, sollicitent une banque partenaire. Espérons que la situation ne perdure pas » se l’amènent-on dans le milieu bancaire.
En réalité, il n’y a pas que ce secteur des banques qui en est impacté. Des tierces aussi ne sont jamais entièrement satisfaits de la totalité du montant de leurs chèques.
Comment en est-on arrivé là ? La question mérite d’être posée, car cette crise de liquidité ne doit jamais arrivée. Elle est rare pour être signalée.
En effet, pour en savoir davantage, on a tenté, mais en vain, de s’informer auprès du Gouverneur, Karamo Kaba qui, malheureusement, comme d’habitude, ne répond à aucune sollicitation.
Par contre, dans les couloirs de la Banque centrale, on plaint le manque d’anticipation et de planification en matière notamment l’impression de billets.
« Tout cela dénote d’une défaillance de gestion, si non cette situation ne doit jamais arrivée » pestiféré un spécialiste des finances publiques.
En attendant, les clients doivent prendre leur patience en mal.
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