Emergence – C’est peu de dire que l’économie est à l’arrêt en Guinée. C’est plutôt tout le pays qui s’est arrêté ce lundi 26 février, suite à l’appel d’une grève général illimitée décidée par l’inter centrale syndical.
Les différents communiqués publiés par les différentes centrales syndicales n’ont pas été vains. Ils ont été suivi sur toute l’étendue du territoire national. C’est du moins le constat fait par notre redaction. Pour rappel, tous syndicats Guineens , de l’enseignement à la banque , des mines au transport , et même des taxis motos indispensables désormais dans le transport urbain en Guinée, tous appelé leurs membres à se joindre au mot d’ordre lancé.
En premier jour de la grève qui risque de se prolonger par faute d’accord trouvé entre l’Etat et les grévistes, l’administration est paralysée, les commerces fermés, les mines paralysée, les banques fermées, le service minimum observé dans les hôpitaux et dans beaucoup de service socio de base.
Les conséquences économiques d’une telle situation pour un pays dont l’économie est sous perfusion , sont énormes.
Des cabinets évaluent à des dizaines de millions de dollars le manque à gagner pour les caisses de l’Etat.
Nous y reviendrons !
Emerg