La banque française s’apprête à céder ses filiales africaines au Gabon, en Tunisie, au Mali, au Burkina Faso et en Guinée.
Au siège de la rue d’Antin, à Paris, on l’admet volontiers : le jeu d’équilibriste entretenu depuis quelques mois par BNP Paribas au sujet de ses ambitions en Afrique « peut créer des incompréhensions », concède une porte-parole de la banque française. En cause, les tensions avec les partenaires locaux et le faible dynamisme de ces marchés.
Le groupe a indiqué récemment l’ouverture d’une « réflexion stratégique sur sa participation au capital des pays comme le Gabon, la Tunisie, le Mali, le Burkina Faso et la Guinée.
Avec Jeuneafrique