Emergence – Annoncée avec charivari comme un véritable sparadrap à la saignée présumée, et à la prétendue mauvaise gestion du secteur des jeux, l’ARSJPa laisse un gout d’inachevée. La solution prétendument souhaitée par les autorités de la transition risque de devenir un abysse. En tout cas , la gestion de cette structure relevant de la présidence est sur toutes les lèvres , au-delà de la propagande qui veut faire ingurgiter à l’opinion tout autre résultat.
Un procès en caricature est à cet effet fait contre tous ceux qui veulent percer l’abcès pour comprendre la gestion absolument alambiquée de cette cave à argent.
Depuis la création de cette structure et la nomination, dans la foulée, en début d’année, de son Directeur général, présenté prétendument comme un spécialiste dans le domaine et par ailleurs ancien partenaire commercial de la LONAGUI, la défunte régulatrice des jeux, les opérateurs crient à l’asphyxie par le régulateur. Ils craignent que l’allure bringuebalante de la gestion du régulateur ne conduise à leur extinction progressive.
De quoi se plaignent-ils ? L’existence de multiples taxes pour alimenter des fonds préalablement méconnus.
L’existence des lignes pour alimenter les caisses de la présidence pourtant légalement bien pourvues par la présidence à travers le budget alloué à cette institution qui se chiffre à des centaines de milliards.
Puis, l’opinion veut connaître, de façon chiffrée, l’apport de l’ARSJPA au budget national excessivement amplifié par la propagande sur fonds de publications nauséeuses
« On a créé trop de poches, pour des destinations inconnues » regrette un spécialiste, le vrai, interrogé par notre rédaction.
L’essentiel serait d’apporter une réponse à ses questionnements qui, en toute logique, suscitent des interrogations et des doutes légitimes.
Nous y reviendrons pour une série d’enquêtes sur l’ARJPA ainsi que sur ses dirigeants
Mognouma